MEIRION-JONES Gwyn

Directeur à l’Institut de géographie, et professeur, London Metropolitan University, 1969-1989, professeur émérite, 1989 ; professeur d’archéologie, Reading University, 1995-2007.

Publications :

  • Gwyn MEIRION-JONES, The Vernacular Architecture of Brittany : an Essay in Historical Geography, Édimbourg, John Donald, 1982.
  •  Gwyn MEIRION-JONES, Pierre GARRIGOU-GRANDCHAMP et al., La Ville de Cluny et ses Maisons (XIe-XVIe siècle), Paris, Picard, 1997.
  •  Gwyn MEIRION-JONES, Michael JONES et al. (dir.), La demeure seigneuriale dans l’espace Plantagenêt. Salles, chambres et tours, Rennes, Presses universitaires de Rennes, 2013.

Avec Michael JONES (voir sa notice sous l’onglet “Auteurs” ) , il est intervenu au congrès 2023 de la SHAB à Guérande sur le sujet suivant :

Kerpondarm, Clis en Guérande, Loire-Atlantique

Le texte de leur contribution est paru dans le tome CII des Mémoires de la Société d’histoire et d’archéologie de Bretagne, p. 265-287.

Gwyn Meirion-Jones et Michael JONES sont également intervenus au congrès 2021 de la SHAB à Rennes sur le sujet suivant :

Deux chercheurs gallois sur le terrain breton. Un demi-siècle d’aventures

Pendant plus de cinquante ans, deux universitaires britanniques – gallois – ont consacré l’essentiel de leurs recherches à la Bretagne. Gwyn Meirion-Jones, archéologue du bâti, a étudié l’habitat breton, tant vernaculaire que seigneurial.

Michael Jones, historien, qui a rencontré pour la première fois enfant la Bretagne, son peuple, son histoire et sa culture avant d’en entamer une étude plus sérieuse en devenant étudiant à Oxford et d’y consacrer sa thèse à Jean IV dont il est devenu le meilleur spécialiste. Il a ensuite étendu ses recherches sur tous les ducs, les institutions et l’administration du duché médiéval du XIIe siècle jusqu’à la duchesse-reine Anne, le point central de la quête de toute une vie de recherche. Tous deux reviennent ici sur ces années, riches en expériences intellectuelles et humaines.

Le texte de leur contribution est paru dans le tome C (2021) des Mémoires de la Société d’histoire et d’archéologie de Bretagne, p. 437-460.